Envolons nous loin de l’univers du surf et de l’océan pour parler de cinéma et exprimer la chance que nous avons eu d’assister à l’avant première mondiale de l’opus 2 de Star Trek « Into Darkness ».
La Paramount avait organisé le vendredi 26 Avril une projection extraordinaire en IMAX 3D au cinéma Pathé Gaumont d’Ivry-sur-Seine, en présence de JJ Abrams, réalisateur de Star Trek. La séance fut poursuivi par un échange sous forme d’interview avec la presse et son public.

Star Trek into Darkness.
JJ Abrams dévoile l’intention de son équipe de construire un choc scénique et relationnel avec les protagonistes, ils mettent en exergue l’attachement de l’équipage de l’ USS Entreprise.
Nous les découvrons sur « La planète rouge » lors d’une ouverture graphique, en plein sauvetage d’un monde en ébullition. Cette situation folle très visuelle et colorée de feu plonge le spectateur au cœur d’une éruption volcanique.

Star Trek est un film dans le mouvement, principalement la chute libre, ce dynamisme sensationnel et gravitationnel. Les auteurs font l’usage de la Steady Cam pour restituer les déplacements énergiques spatiaux d’un film intense et riche en action.

Du point de vue technique, c’est une réussite incroyable et spectaculaire.
Avec un film lumineux, les caméras IMax delivrent une image hallucinante et une profondeur de plan 3D quasi réelle. De l’avis du realisateur JJ Abrams blagueur ce soir là, ces cameras sont ultra bruyantes et tombent en panne frequemment, avec humour JJ Abrams déconseille leur usage. Complexe bien sur mais d’une qualité à couper le souffle.

Sous les effets spéciaux, l’acteur reste très présent dans l’interprétation des espèces extraterrestres comme à l’epoque des classiques du genre et cela pour fournir une interprétation authentique et de qualité.

Amitié et engagement, idéal individuel confronté aux valeurs personnelles.
Spoke rejette les émotions, son interprête Zachary Quinto parvient à voiler les sentiments troubles du personnage tout en dégageant à l’écran une quantité de sensations humaines qui touche le spectateur.
Vers les ténèbres de cet opus via le charisme a l’écran du « Bad Guy », un méchant ambigüe dont on a envie de faire confiance, à tort.
JJ Abrams conclu une nouvelle fois sur l’importance du montage d’un film de cette envergure ou le réalisateur pointe l’accent sur des personnages formant un équipe solidaire.

En conclusion :
Un film à voir quand on aime les gros Blockbuster à grand spectacle, les conquêtes de l’espace, la dualité et les retours aux sources de Sagas cinématographiques historiques.